Tout comme la première qu’on affronte ce projet, le nez se demande ce qui se passe dans ce liquide tantôt quadruple, puis bock, eisbock et enfin rauchbier legère. En bouche la fumée devient cendre et le grain doit être réchauffé en bouche avant de trouver la bonne vieille bock que l’on connaît bien. La finale est enfin liquoreuse, comme il se doit puis c’est la chaleur de l’alcool qui semble au nord des 12%, davantage dans la région du 13-14-15. L’aftertaste est un peu plus rauchbier que rauchbock, quoique l’intensité nous rappelle que c’est une bière où les céréales font rage.
La cote OO : B+
Parce que c’est la bière parfaite pour écouter une partie de football à l’intérieur alors qu’il fait 30 sous zéro à l’extérieur.